Vous aussi vous avez battu des mains quand on vous a demandé d’être témoin de la mariée ? Vous aussi vous avez eu cette petite larme devant cette preuve d’amour ? Et puis… d’un coup, vous avez pensé « mince, l’enterrement de vie de jeune fille, c’est pour ma pomme »… et là, l’angoisse… Quoique, dans ces cas là, qui est la plus angoissée : la future mariée ou les gentilles organisatrices ? Le fameux EVJF, on le craint, tant dans sa partie préparation que dans la partie « je subis les idées farfelues de mes copines… » Si certaines ont le talent pour ça, d’autres rament… Caler la date, trouver les activités, les réserver, sortir des clichés, offrir de l’originalité, s’équiper, et espérer qu’aucun couac ne vienne perturber tous les plans imaginés et organisés parfois dans la douleur… Au bout du chemin, il y a la satisfaction du devoir accompli, cette présence unique aux côtés de la mariée, les coupes de champagne bien méritées… Mais avant, il y a cet EVJF…