La personnalisation des objets est tendance. Le « produit à la chaîne dans une usine à l’autre bout du monde » séduit moins et pour cause, on aime s’approprier tout ce qui nous entoure, on aime les objets avec une histoire, de ceux qui nous marquent et nous interpellent parce qu’ils ont tout simplement quelque chose de différent et qu’ils nous touchent nous, tout particulièrement. Aussi, beaucoup surfent sur la tendance avec plus ou moins d’originalité, quand d’autres ont cet éclair de génie qui leur permettra d’avoir de plus jolies perspectives d’avenir. Lire la Suite
Ponchocouette : dédié aux frileuses
Le ponchocouette, c’est un peu l’accessoire de cocooning par excellence. L’hiver, il fait froid, c’est une évidence. Et beaucoup de frileuses frissonnent dans leur canapé, derrière leur ordinateur, maudissant le chauffage de ne pas chauffer assez, maudissant la vie de ne pas leur avoir permis de vivre en pays chaud (et paradisiaque aussi), maudissant ce pull en laine qui gratte, cette couverture qui glisse, vos bras dehors et vos mains gelées. L’hiver est saison où les ourses qui n’hibernent pas ne sont pas particulièrement d’humeur. Il fait froid, on se crispe, on a mal partout, on chope des microbes. L’hiver, c’est moche.
Chloé : 60 ans de mode, 60 ans d’innovation pour les femmes
Il est rare que l’on ne vous parle de Haute-Couture sur So We. Chloé fête ses 60 ans et pour l’occasion, la maison a décidé de lancer une rétrospective de ses créations. Là où c’est intéressant, c’est l’histoire de cette mode, de ces nouveaux codes vestimentaires proposés aux femmes, de ces bouleversements dans des habitudes, dans les esprits. La révolution féminine s’est jouée à bien des niveaux et la Haute-Couture y a aussi participé.
Dolly and Joe : des faire-parts vraiment magiques !
Quand on parle faire-part, on pense de suite à ces sites où les modèles sont imprimés à la chaîne, certes jolis mais finalement d’une grande banalité. Parce que, si vous regardez les créations de Dolly and Joe plus en détails, vous aurez sans doute envie de refaire un enfant, un mariage, de relancer un grand évènement juste pour offrir aux proches CE type de faire-part. Donc attention à ce que vous allez découvrir plus bas, votre perception de ces petites cartes en carton risque d’être changée à vie.
Bijoux Vic & Léo : un cadeau aux lectrices de So We !
Le bijou n’est pas forcément ostentatoire, il n’est pas non plus obligé de briller de milles feux, de porter une pierre précieuse, justement trop précieuse qu’on n’ose le porter. Le bijou peut aussi rimer avec simplicité, se montrer original et raconter une histoire. On peut alors l’afficher fièrement, le porter au quotidien, le transformer en gri-gri pourquoi pas, et se faire convoiter parce que justement, sa différence fait de lui un objet précieux.
Bibliothèques itinérantes : les livres et vielles cabines téléphoniques n’ont pas dit leur dernier mot !
La téléphonie mobile a tué les bonnes vieilles cabines téléphoniques. Les liseuses mettent à mal les livres. Dans ce contexte difficile, les deux se relèvent et s’engagent à l’unisson. Certes, on ne téléphonera plus avec les cabines, mais elles protègeront toujours de la pluie. Quant aux livres, et bien, ils continueront d’être lus. A la différence près qu’ils seront accessibles à tous, n’importe où.
Portrait de créatrice : Un rire sous la Tonnelle
Pour vous un fil de fer, c’est terriblement banal ? Ça ne vaut même pas un regard, une attention ? Et bien, pourtant, il existe une beauté en chaque chose, encore faut-il la relever, la mettre en avant. C’est le cas de Sonia Fiquet, d’Un rire sous la Tonnelle. Ces fils très banals prennent vie entre ses mains, racontent une histoire et peuvent enchanter tant ils expriment une vraie poésie, un vrai imaginaire. Les créations de Sonia sont aériennes. Comme ce petit oiseau, ce petit papillon, que l’on retrouve régulièrement ici et là.
Partons à la rencontre de cette créatrice, et sous la tonnelle, s’il vous plaît !
« 2 heures pour… » prendre le temps
L’époque est à la course. « Je manque de temps », est l’excuse la plus entendue. Manque de temps pour s’occuper de soi, pour s’intéresser aux autres, pour prendre du recul sur les tracas du quotidien. Pour se poser et envisager la vie plus sereinement. Le tourbillon l’emporte dès le son du réveil et ne s’apaise qu’une fois Morphée passée. Stop, imposez-vous le temps d’une pause, déjà pour lire ce billet, ensuite, pour réfléchir et faire le point sur votre état d’esprit.
Bulles de joie : une séance photo très… joyeuse !
Les photos, on les collectionne sur nos disques durs. On les collecte auprès de nos amis après un grand évènement, on trie, on est ravi, mais déçu aussi. Ne s’improvise pas photographe qui veut, même avec le dernier cri des reflex. Il faut avoir l’oeil pour capturer un moment, il faut savoir jouer des réglages, de la lumière, avoir un talent pour qu’un cliché, en particulier, attire et reste comme LE souvenir. Si les photos du quotidien se prennent volontiers avec le plus banal des smartphones, il est des moments avec lesquels on ne plaisante pas. Il est des instants où l’envie d’une séance photo s’impose, une vraie, pour marquer à jamais l’histoire d’un couple, d’une famille, d’amis même, pourquoi pas, l’arrivée d’une vie. Et dans ces cas-là, on fait appel à « ceux qui savent ».
Certaines n’avaient jamais vu la mer : instructif
Il est des moments de l’Histoire qui nous sont totalement méconnus. Des moments que, ni même nos cours de lycée ne nous ont appris, ni même les médias, pourtant prolixes sur le sujet de la Seconde Guerre mondiale. Peut-être que des éminents spécialistes connaissent de quoi il est question dans ce roman de Julie Otsuka, mais ils se gardent d’en informer la plèbe. Et la question est de savoir pourquoi ?